À partir de juillet 2018, la société Écovalgue était autorisée à titre expérimental, à collecter des « algues épaves » sur sept communes du Calvados : Grandcamp-Maisy, Courseulles-sur-Mer, Bernières-sur-Mer, Saint-Aubin-sur-Mer, Langrune-sur-Mer, Lion-sur-Mer et Hermanville-sur-Mer. Une unité avait même été implantée dans la foulée à Douvres-la-Délivrande pour assurer le lavage et le séchage.
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Succès pour la phase expérimentale
« La phase expérimentale s’étant achevée le 30 septembre 2019 avec succès, Stéphane Dobriansky (le porteur du projet) a informé la direction départementale des territoires et de la mer du Calvados de sa volonté de passer à la phase pré-industrielle du projet », rapporte une synthèse du projet pour la préfecture, en date du 5 février 2020.
Après un souci de santé, Stéphane Dobriansky a dû mettre en pause le projet Écovalgue. « Nous n’avons pas d’alternative miracle pour l’instant, explique Jean-Luc Guingouain, maire de Langrune-sur-Mer. Cette année, nous sommes chanceux, nous avons peu d’algues sur notre plage. Dans le cas où il y aurait une arrivée massive, on fera appel à une entreprise extérieure. Sinon, nous nous débrouillons seuls. »
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